Une entreprise de TI travaillant pour le gouvernement du Canada s’est récemment renseignée sur la traduction française.

Nous avons su répondre de façon satisfaisante à la plupart de leurs questions concernant notre expérience de travail, nos capacités, notre personnel qualifié, nos certifications professionnelles, notre compatibilité avec les formats de leurs documents, notre utilisation de la technologie, la façon dont nous nous prenons pour assurer l’uniformité d’un document à un autre, et l’accès et la protection relatifs à leurs renseignements.

Néanmoins, la principale préoccupation du client potentiel consistait en notre utilisation de la technologie dans le processus de traduction, particulièrement à savoir si au moins 80 % de leur documentation serait traduite par de véritables traducteurs.

À une époque où les logiciels de traduction automatique sont accessibles en ligne presque partout dans le monde et à laquelle les besoins en services de traduction ne cessent de croître, la traduction automatique semble être une source de confusion considérable.

Le concept en ligne, appelé traduction automatique, génère des traductions en fonction d’un algorithme, d’une probabilité et de calculs.

Puisque ces systèmes utilisent des outils d’intelligence artificielle (IA), ils ne sont pas toujours précis. Bien qu’ils se soient réellement améliorés au fil du temps, ces systèmes ne sont aucunement comparables au résultat de la traduction humaine. Malgré tout, ces outils peuvent très bien transmettre un message ou même imiter le style et le ton de la langue de départ si l’objectif consiste à fournir une idée globale du sens d’un message.

Même les processeurs les plus puissants utilisant les meilleurs algorithmes et modèles linguistiques d’IA ne peuvent toujours pas rendre une traduction aussi fidèlement que le ferait un traducteur formé et expérimenté. D’ailleurs, même le meilleur système chargé de millions de segments de discours et de divers modèles linguistiques n’est pas en mesure de percevoir et d’exprimer les émotions, les nuances et le raisonnement psychologique et social.

Notre client potentiel, qui, espérons-le, deviendra un nouveau client, était préoccupé à juste titre. Ce qui suit constitue notre réponse, laquelle nous souhaitons partager avec tous les consommateurs actuels et futurs de services de traduction, que ce soit en français, en anglais ou dans une tout autre langue, que ces consommateurs soient issus d’organisations ou qu’ils soient des particuliers.

Grâce aux procédures et à la technologie que nous avons mise en place, nous ferons ce qui suit :

  • Nous verserons tous les documents existants et précédemment traduits dans des mémoires de traduction (MT). Ces MT seront utilisées afin d’automatiser et de simplifier le processus de traduction et d’uniformiser votre contenu, y compris la gestion de votre terminologie.
  • Nos outils de traduction automatique garantiront une entière cohérence terminologique et stylistique.
  • Nous livrerons des traductions exemptes d’erreurs.
  • Nous maintiendrons vos bases de données terminologiques et textuelles contenant tous vos documents à ce jour, lesquelles s’agrandiront avec chaque entrée que nous saisissons.
  • La terminologie sera uniforme dans tous vos documents et sera mise à jour avec chaque entrée que nous saisissons.
  • Après avoir reçu votre rétroaction ou votre demande de changements ou de mises à jour à apporter, nous procéderons immédiatement à l’apport de ces modifications dans tous vos documents et bases de données.
  • Nos systèmes sont compatibles avec un grand nombre d’applications et logiciels sur le marché comme ceux de bureautique, d’éditique et de photocomposition (p. ex., InDesign), de processeurs d’édition de texte de documents volumineux complexes (p. ex., Adobe FrameMaker), de formats contextuels Java intégrés ainsi qu’une variété de formats HTML et XML. Une liste exhaustive des formats de fichier vous sera fournie sur demande.

Au final, vos documents sont traduits par un véritable traducteur ou une équipe de véritables traducteurs spécialisés dans le domaine; chaque traduction est ensuite révisée par deux véritables réviseurs.