J’étais en voyage en France pour marquer une pause dans mes études de cycle supérieur. Par une soirée fraîche d’octobre, après une journée passée au Louvre, j’ai rejoint mes deux nouvelles connaissances, Sarah, une Américaine, et Gertrud, une Autrichienne, pour un souper sur les Champs-Élysées.
Nous nous sommes retrouvées attablées à côté d’un couple germanophone très sympathique, venus eux aussi prendre un bon repas. Sitôt les présentations faites, nous nous sommes aperçues que le couple parlait peu l’anglais et encore moins le français. Gertrud parlait l’allemand et un peu l’anglais, Sarah parlait l’anglais et avait quelques connaissances en français. Quant à moi, je parle le français couramment et, j’ai assez de notions d’allemand pour me perdre complètement dans la conversation. Notre serveur parisien, lui, parlait le français et comptait qu’on fasse de même.
Désignée porte-parole pour la circonstance, j’ai aidé à passer la commande et facilité la communication pour tout le monde. Au cours de ce souper bien arrosé, une conversation multilingue très créative s’est engagée, émaillée d’éclats de rire autour d’un repas plus copieux que prévu. Mon groupe avait en effet commandé des plateaux de mélange de viandes, qui se sont avérés énormes.
Gertrud qui voyageait seule et à l’économie depuis quelque temps, était décidée à emporter les restes. Or, nous étions au milieu des années 1970, à une époque où demander aux restaurants d’emballer les restes était plutôt inusité. Je n’avais encore jamais vu faire ça au Québec, ni dans mes voyages en Europe. Le serveur allait-il consentir à emballer les restes, ou allait-il nous rabrouer comme de vulgaires crétins?
Le spectacle de ces restes étendus devant nous nous interpellait. Comment *fait-on* exactement pour exprimer l’idée « Je voudrais un “doggy bag”? » Est-ce que cela se fait chez les Européens ou pas du tout ? J’ai exprimé l’essentiel de l’idée à nos amis allemands en lançant « Ich wünsche sagen… “Ich habe ein Hund…” » (« Je veux dire… “J’ai un chien” »…), et ils ont tout de suite saisi l’allusion. J’ai alors pris mon courage à deux mains et j’ai réussi à négocier DEUX sacs « pour emporter » avec le serveur, sans même avoir à évoquer ce chien imaginaire.
Dans les années 1970, pour se faire comprendre de vive voix dans une autre langue, c’était toute une aventure où se mêlaient les rudiments de la langue, la patience et le sens de l’humour qu’on y mettait. Aujourd’hui, une application mobile peut vous aider à comprendre les bases d’une langue en quelques clics.
Mais qu’en est-il si vos besoins personnels transcendent le social? Peut-être avez-vous besoin d’un relevé de notes certifié pour travailler ou étudier dans une autre langue? Ou peut-être travaillez-vous pour une entreprise qui souhaite élargir son marché aux clients étrangers? Pour ces besoins, la traduction doit être parfaite et adaptée au public auquel elle est destinée. Les sourires et les signes de la main ne sont d’aucun secours, et la traduction automatique ne suffit pas. Voilà pourquoi des cabinets tels que Fox Translations continuent de prospérer. Nous nous sommes fait une réputation d’entreprise fiable au service prompt, capable de traduire des documents officiels et tout autre type de texte – de l’anglais vers le français, du français vers l’anglais, et dans vingt autres langues, dans un sens ou dans l’autre – avec fidélité et une grande précision.
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Jennifer